Villers-sur-Mer
...au début du XVe siècle, d’une des premières écoles de la région, et de la construction d’un château. Ce fut donc dans les années 1850 que la ville profita de la vogue des bains de mer, voyant quelques maisons se construire, puis un hôtel rendu nécessaire par le nombre d’estivants venus profiter de l’air marin. Mais l’essor de la station balnéaire fut assuré par un architecte parisien qui acquit des terrains, en traça les plans pour y construire un établissement de bains de mer et un casino, bientôt suivi par des investisseurs et autres notables amoureux de la région.
A deux heures de la capitale.
Parcs, villas cossues mais aussi hôtel de ville et église virent le jour, profitant de l’arrivée du chemin de fer. La Belle Epoque ne fit que confirmer cet engouement avec la venue des grands de ce monde, tout comme l’entre-deux-guerres au cours duquel furent construits une digue et plusieurs grands hôtels. La ville s’étendit en dépit d’une démographie stable, soutenue par les bénéficiaires de congés payés qui profitaient d’une desserte autoroutière qui mettait Villers-sur-Mer à deux heures de Paris. Achevant de populariser la station balnéaire qui s’aménagea avec un secteur piétonnier en centre-ville, s’équipa d’infrastructures sportives et de loisirs, construisit des immeubles résidentiels.
D’indiscutables atouts.
Entre Deauville et Houlgate, Villers-sur-Mer offre de nombreux atouts avec ses deux kilomètres de plage de sable fin, son site littoral classé, les randonnées dans le bocage normand. Et tire bénéfice des infrastructures ferroviaires et aéroportuaires de Deauville à une dizaine de kilomètres seulement. Ses festivals et événements culturels, surtout pendant la période estivale, son église néogothique du XIXe siècle, sa falaise des Vaches noires aux vestiges paléontologiques tout comme le musée Paléospace l’Odyssée conquièrent chaque année de nouveaux visiteurs.
Des résidences secondaires pour l’essentiel.
Demeures prestigieuses, maisons du vieux Villers, pavillons avec jardin, villas cossues, mais aussi quartiers récents coexistent dans le parc immobilier villersois, composé à près de 85% de résidences secondaires et à 21% de maisons individuelles. Evidemment, les bâtisses du XIXe siècle proches du bord de mer restent les plus prisées, dont certaines ont été découpées en appartements, alimentant ainsi un fort marché de location saisonnière pour des logements de deux ou trois pièces.
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