Valdahon
Une contrée qui reprit vie à la fin du premier millénaire tandis que le site de Valdahon, dépendant de la seigneurie de Cicon, apparaissait dans l’Histoire au XIIe siècle. Un petit bourg agricole, formé de trois hameaux qui subirent les vicissitudes de la Franche-Comté, dépendante de Charles Quint au XVIe siècle, puis théâtre de luttes incessantes entre Français, Lorrains et Suédois au siècle suivant.
Un village exsangue.
Rendue exsangue après la guerre de Dix Ans qui lui valut l’incendie et la destruction quasi totale du bourg, Valdahon se reconstruisit pour subir, au début du XVIIIe siècle, les attaques des troupes de Louis XIV qui prétendait à la Franche-Comté et finit par la conquérir. Le petit village n’en poursuivit pas moins son destin, à nouveau dévasté par un incendie en 1844, victime enfin des désastres des deux guerres mondiales.
Un nouvel essor.
Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que Valdahon recouvre un certain essor, dotée d’une nouvelle église, enfin désenclavée par l’arrivée du chemin de fer et la construction d’une gare. Devenue ville de garnison aux premières heures du XXe siècle avec la création d’un camp militaire, Valdahon bénéficie aujourd’hui d’un dynamisme économique reconnue, ce que démontre sa démographie positive depuis de nombreuses années, abritant par ailleurs le 13e régiment du génie.
Une situation géographique idéale.
Idéalement placée au cœur du Doubs, à une trentaine de kilomètres de Pontarlier, de Morteau ou de Besançon, bien desservie par le réseau routier, la commune met à la disposition des Valdahonnais de nombreux équipements publics avec des établissements scolaires jusqu’au collège, bibliothèque et médiathèque, et de multiples installations sportives dont le complexe nautique du Pays des Portes du Haut-Doubs. Et présente un parc immobilier composé à 65% de maisons individuelles.