Saint-Orens-de-Gameville
Une région peuplée par des Celtes puis conquise au début de notre ère par les Romains qui en furent chassés au Ve siècle, raconte la légende, par un évêque espagnol, Orentius. Un religieux qui fut canonisé et auquel on dédia une église sur le site de la bataille qui l’avait opposé au général romain Litorius. Un édifice autour duquel s’agrégèrent quelques maisons au fil du temps. Avec Clovis, le territoire toulousain passa sous l’égide de la couronne royale puis les puissants comtes de Toulouse assurèrent l’essor de la province.
La réunion de trois hameaux.
Dévastée par l’hérésie cathare et les croisades albigeoises qui s’ensuivirent, la région Midi-Pyrénées connut à la Renaissance un formidable développement, tant économique que culturel. Au XVIIe siècle, le creusement du canal du Midi pour relier Toulouse à la Méditerranée allait apporter une nouvelle prospérité. A la Révolution, trois hameaux, Cayras, Gameville et Lantourville s’associèrent pour fonder une commune qui ne comptait alors que quelques centaines d’habitants qui tiraient profit de l’agriculture, du commerce mais aussi de manufactures. Pourtant, la province échappa en grande partie à la révolution industrielle, ce qui favorisa, paradoxalement, son entrée dans l’ère moderne grâce, notamment, à l’industrie aéronautique.
Un développement rapide.
Un développement industriel qui permit à Saint-Orens-de-Gameville de passer de 700 habitants en 1970 à plus de dix mille en deux décennies seulement, accueillant de très nombreuses entreprises sur son sol. La commune, grâce à cette bonne santé économique, multiplia les lotissements de qualité afin de favoriser la mixité sociale. De nouveaux quartiers furent créés de toutes pièces où se mêlent aujourd’hui immobilier de bureaux et équipements publics, centres commerciaux et espaces verts.
De nombreuses infrastructures.
Fière de son église du XVIe siècle classée aux Monuments Historiques et du château Catala du XVIIe siècle, la commune met à la disposition des Saint-Orennais de très nombreux équipements publics avec, notamment, des établissements scolaires jusqu’au lycée à quelques encablures du pôle universitaire de Toulouse et de ses prestigieux établissements d’enseignement supérieur, des écoles de musique et de danse ainsi que des ateliers d’arts plastiques, une grande salle de spectacles, sans compter les installations sportives avec piscine, centre équestre, ou encore terrains de football et de rugby.
Un habitat prisé par les familles.
Commune de l’aire urbaine de Toulouse située à une dizaine de kilomètres, particulièrement bien dotée en infrastructures dédiées la petite enfance, Saint-Orens-de-Gameville est une ville résidentielle appréciée des familles pour sa qualité de vie, ses commerces et ses établissements scolaires. Et présente un parc immobilier composé à 84% de maisons individuelles où se mêlent des résidences d’appartements de standing, maisons avec jardin et constructions récentes.