Ramonville-Saint-Agne
Passée sous l’autorité royale de Clovis, la région subit les exactions sarrasines avant de revenir au comté de Toulouse. En dépit de la déferlante cathare et des croisades albigeoises, elle sut se développer pour être finalement rattachée à la France au XIIIe siècle. Sous domination anglaise, dévastés par la guerre de Cent Ans, les villages en périphérie de Toulouse poursuivirent leur essor. Dont Saint-Agne, Ramonville, Lapeyrade et Soule, situés à proximité d’une ancienne voie romaine devenue chemin vers Compostelle. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, domaines agricoles et maisons de plaisance s’y multiplièrent, possessions de l’Eglise et des aristocrates régionaux.
Une union annoncée.
Des privilégiés bientôt rejoints par les bourgeois toulousains tandis que le pays se développait grâce au canal du Midi. Après avoir souffert de la Révolution, les quatre hameaux allaient peu à peu s’urbaniser grâce à la liaison du tramway vers Toulouse. Les villages se rapprochèrent progressivement pour ne plus former qu’une seule et même commune, ne connaissant une expansion démographique qu’à partir des années 1970, enfin désenclavée par une voie de contournement de Toulouse. Demeurée une ville résidentielle, Ramonville-Saint-Agne allait pourtant profiter de la formidable réussite économique de la région, notamment dans l’aéronautique.
Un environnement privilégié.
Dotée de nombreux espaces verts qui couvrent 15% de son territoire, de deux ports situés sur le canal du Midi, Ramonville-Saint-Agne est une ville prisée pour ses itinéraires de randonnées, pédestres ou cyclistes. Et met à la disposition des Ramonvillois de nombreux équipements avec, notamment, des établissements scolaires jusqu’au collège, une médiathèque, un cinéma, une école de musique municipale, une salle de spectacles, sans omettre les installations sportives avec un complexe sportif, des gymnases et une piscine.
Un immobilier résolument attractif.
A 9 km de la gare TGV de Toulouse-Matabiau, desservie par le métro toulousain et l’autoroute, à 20 mn de l’aéroport de Toulouse-Blagnac, Ramonville-Saint-Agne se montre attractive à de nombreux égards. Une ville résidentielle qui, à une centaine de kilomètres des premières stations de ski et à 150 km de la Méditerranée, abrite un parc immobilier prisé par les populations cadres, composé à 38% de maisons individuelles, et mêle écoquartiers, constructions récentes et réhabilitations de l’habitat notamment en centre-ville.