Olivet
...n’était qu’un hameau jusqu’à ce que les ordres monastiques implantés dans la région assèchent, défrichent un territoire jusque-là peu hospitalier, sujet à des crues récurrentes. Une petite prospérité qui fut mise à mal par les invasions normandes qui ravagèrent la contrée suite auxquelles les villages se reconstruisirent peu à peu. Une église remplaça la chapelle, la région passa sous l’égide des ecclésiastiques et un pont fut construit pour faciliter les échanges avec Orléans, sa puissance voisine.
Un lieu de villégiature.
Mais la guerre de Cent ans ruina à nouveau la ville qui dut se reconstruire et changea de nom pour Olivet. Ravagée à nouveau par les guerres de Religion, la petite cité du Loiret ne profita plus de la manne religieuse, territoire et immobilier revinrent au privé. Le XVIIIe siècle marqua le retour de la croissance pour les Olivetains qui ne souffrirent pas de la Révolution. Peu à peu, Olivet devint le lieu de villégiature pour les notables d’Orléans qui profitaient des routes et du chemin de fer, et transformèrent les moulins en habitat, les vignobles en jardins. Au XXe siècle, après-guerre, la ville connut une formidable hausse de sa démographie qui quadrupla sa population en une cinquantaine d’années.
A deux pas d’Orléans.
Agriculture viticole et fruitière, moulins céréaliers, négoce et artisanat furent la base de l’économie olivetaine. Profitant ensuite de l’économie générée par les Orléanais de passage, la ville vit s’établir une base militaire américaine qui entraîna la création de toutes pièces d’un quartier résidentiel. Une base qui revint à l’armée française suite au retrait de l’Otan de la France. A la fin du XXe siècle, la ville s’équipa de nombreux établissements scolaires, sportifs, culturels. Aujourd’hui, non seulement Olivet tire parti des infrastructures d’Orléans, à quelques kilomètres, notamment du tramway, mais aussi des bassins d’emplois de Paris et du Val de Loire.
Un cadre préservé.
Intégrée au Val de Loire classé au patrimoine mondial de l’Unesco, proche de nombreux châteaux, fière de son église Saint-Martin du XIIIe siècle, Olivet se caractérise par ses venelles qui en font un lieu de promenade par excellence, à l’image des bords du Loiret et du domaine du Donjon et ses 80 hectares d’espaces verts. Avec un cœur de ville équipé de commerces, pas moins de trente kilomètres de pistes cyclables aux portes de la Sologne, la ville soigne ses équipements sportifs et culturels avec piscine et conservatoire notamment.
Une offre immobilière alternative.
Particulièrement bien desservie par la route mais aussi par le train grâce à la gare d’Orléans, à dix minutes, Olivet présente un parc immobilier composé à 55% de maisons individuelles le plus souvent situées à l’extérieur du cœur historique de la ville, mais aussi mitoyennes, certaines avec jardins. Investissement moins coûteux qu’à Orléans, les lotissements récents et les appartements constituent une offre accessible aux familles et à la population active orléanaise.
