Exincourt
Montbéliard qui était une ville franche administrée par ses notables et bourgeois sous l’égide de différents seigneurs, tirant profit de son commerce et de son artisanat jusqu’à ce qu’elle soit rattachée au Saint-Empire germanique à la fin du XIVe siècle. Protestantes, jouissant d’une richesse certaine, Montbéliard et Exincourt, revinrent à la France après la Révolution, en 1793.
Agricole puis industrielle.
Dans une région essentiellement agricole, céréalière et viticole, le XIXe siècle et la révolution industrielle permirent à l’économie exincourtoise de prospérer, soutenue par l’arrivée du chemin de fer et l’essor du canal, entraînant l’implantation de nombreuses manufactures et fabriques. Qui se substituèrent peu à peu à l’agriculture avec, notamment, l’exploitation de mines de fer, des filatures puis l’industrie horlogère, qui vinrent pourtant à disparaître au long du XXe siècle. Aujourd’hui, au sein de quatre zones d’activités, secteurs automobile, menuiserie métallique, mécanique, grandes surfaces commerciales demeurent les principaux ressorts de son économie.
Une situation géographique privilégiée.
Sur l’axe Rhin-Rhône, à moins de deux heures et demie de Paris ou de Lyon, proche de la Suisse, entre Vosges et Jura, Exincourt profite d’une situation géographique privilégiée. Tirant parti des infrastructures montbéliardaises, elle ne dispose pas moins de nombreux équipements publics avec, notamment, un centre de formation d’apprentis de l’industrie et de multiples installations sportives.
Attractive pour les familles.
Dans un environnement économique tertiaire mais limitrophe des industries sochaliennes, et à seulement quelques kilomètres de Montbéliard, labellisée trois fleurs, Exincourt est aujourd’hui une ville résidentielle, et abrite un parc immobilier pavillonnaire pour l’essentiel avec 84% de maisons individuelles, qui se montre particulièrement attractif pour les populations actives montbéliardaises.