Crépy-en-Valois
La ville attirait de nouveaux habitants heureux de profiter d’une paix et d’une prospérité due à son agriculture mais surtout de sa situation géographique entre Champagne et Flandres. Une ville d’artisanat et de commerce grâce à ses foires, que la guerre de Cent ans allait pourtant détruire avant que ses seigneurs ne l’abandonnent au profit de Villers-Cotterêts. Mais Crépy-en-Valois recouvra la prospérité grâce à la chute de la monarchie qui lui apporta une plus grande importance administrative, puis grâce à la révolution industrielle.
Une ville manufacturière.
De tradition agricole notamment céréalière et maraîchère, place de négoce mais aussi de pêche en étang et d’élevage, Crépy-en-Valois tira profit de ses manufactures de textile, ce qu’illustrent ses nombreuses demeures bourgeoises qui côtoient les maisons du XVIe siècle. Mais le XVIIIe siècle marqua le déclin de la cité, même si faïencerie, porcelaine, ameublement, profitèrent de l’arrivée du chemin de fer quelques décennies plus tard. Une croissance qui fut mise à mal par les deux guerres mondiales pour aujourd’hui s’installer dans une économie diversifiée avec industries mécaniques et plastiques, sous-traitances diverses et de nombreuses sociétés de service.
Entre ville et campagne.
Idéalement placée à soixante kilomètres de Paris, Crépy-en-Valois offre un environnement agréable, mêlant cadre urbain et campagne, et de nombreux équipements scolaires et sportifs qui profitent aux Crépynois, ce que démontre sa démographie positive depuis plusieurs années. Sans compter un patrimoine architectural remarquable entre vestiges d’édifices religieux, le château Saint-Aubain, et une vieille ville parsemée d’hôtels particuliers et de villas de notables du XIVe au XVIIIe siècles.
Une situation géographique idéale.
A quelques encablures des forêts de Compiègne et de Retz, s’appuyant sur la communauté de communes du Pays de Valois, Crépy-en-Valois joue également la carte économique en profitant de sa situation géographique privilégiée, près de la capitale et de l’aéroport de Roissy bien sûr, mais aussi à une vingtaine de minutes de Senlis et de Compiègne, à une centaine de kilomètres de Reims. Faisant face à un afflux de population qui induit de nombreuses constructions récentes dans un parc immobilier qui comporte pas moins de 53% de maisons individuelles.
