Chenove
On ne la vit apparaître qu’au XXe siècle quand elle tira parti de l’amélioration de ses voies de communication, la rapprochant de sa grande voisine, Dijon. Un chemin de fer qui joua un grand rôle dans sa croissance économique, par l’exploitation des carrières qui nourrirent la construction dijonnaise, par l’activité de sa gare de triage mais aussi par le commerce de son vin. D’autant que les Trente Glorieuses fournirent à Chenôve l’opportunité de s’étendre en devenant la pourvoyeuse de logements à la population active dijonnaise. Entraînant une urbanisation à marche forcée qui sera pourtant adoucie dans les années 1980 grâce à la création de nouveaux quartiers à taille humaine et à l’esprit résidentiel.
Une croissance démographique.
Troisième ville du département, deuxième pôle économique autour de Dijon, Chenôve a connu une forte croissance démographique depuis quelques années suite à l’expansion de Dijon, même si les crises récentes en ont freiné le mouvement. Et en a profité pour développer ses équipements culturels dont un Conservatoire de musique et de danse qui draine de nombreux élèves de toute la région. Echappant au qualificatif de ville dortoir en favorisant l’installation de PME d’une part et en s’ouvrant au tourisme d’autre part.
Pour un tourisme écologique.
Entre campagne et grande ville voisine, Chenôve reste attractive aujourd’hui, même si sa population tend à décroître depuis quelques années. Offrant un cadre de vie agréable avec, au cœur du vieux bourg, le jardin du Clos du Roy et son parc animalier, sa mare, son espace pique-nique. Mais aussi des commerces et un marché réputé alentour. Encourageant le tourisme vert avec le Plateau de Chenôve, un site classé doté d’une zone ornithologique renommée sur pas moins de 240 hectares de forêts et de plaines, qui offre un point de vue exceptionnel sur la région et même jusqu’aux Alpes.
Une opportunité immobilière.
Depuis une dizaine d’années, en ayant rejoint la communauté d’agglomération dijonnaise, Chenôve dynamise son activité économique et culturelle, avec une offre immobilière évidemment hétérogène entre maisons à colombage et résidences récentes, dont 27% de maisons individuelles, à des prix véritablement attractifs, non seulement pour les Cheneveliers mais aussi pour la population dijonnaise à moins de quatre kilomètres de là.