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BONNE

Bonne

Publié le 08/06/2017 - Mis à jour le 08/06/2017
Bien avant l’invasion romaine, la région du Faucigny fut très tôt peuplée du fait de sa situation géographique, probablement par des Ligures et des Allobroges.
Informations
Département : Haute-Savoie (74)
Région : RHONE-ALPES
Population :
Propriétaire : (source : Insee)
Les biens à louer
Région : RHONE-ALPES
Prix moyen du marché : 938 €
Les biens en vente
Région : RHONE-ALPES
Prix moyen du marché : 256 662 €

Pourtant, les plus anciennes traces historiques ne datent que de l’époque gallo-romaine avant que ces terres ne soient occupées par les Burgondes à la chute de Rome, puis par les Francs. Dévasté par diverses razzias à la fin du premier millénaire, devenu vassal de l’empire germanique, le royaume de Bourgogne abritait alors la baronnie de Faucigny, en perpétuelle lutte de pouvoir avec ses voisins chablais et genevois.

 

Un territoire devenu savoyard.

Aux premières heures du XIIIe siècle, le seigneur de Faucigny fit bâtir une ville neuve près de son château situé sur le promontoire où avait été édifiée l’église Saint-Nicolas. L’endroit se divisait entre Haute-Bonne, place militaire fortifiée et Basse-Bonne au pied de la citadelle, petit bourg lui-même protégé par une enceinte. Au milieu du XIVe siècle, Le Faucigny rejoignit la Savoie tandis que Bonne, grâce à sa position de carrefour, voyait son commerce se développer.

 

Un pays convoité par les grandes puissances.

Mais cette localisation devait apporter le malheur à la bourgade qui vit au fil des siècles se multiplier les affrontements entre soldatesques genevoise et savoyarde, sans compter les guerres de Religion entre Protestants de Genève et Catholiques de Savoie. Bien que plusieurs traités de paix aient été signés par les deux parties, les combats se poursuivirent tandis que le prince de Savoie devenait roi de Sicile puis de Sardaigne. En cette fin du XVIIe siècle, Le Faucigny fut vendu et devint un comté mais Bonne dut encore subir une occupation des Français au début du XVIIIe siècle puis celle des Autrichiens à la chute de l’empire napoléonien avant de revenir au royaume de Piémont-Sardaigne.

 

Une croissance démographique récente.

A la Révolution, le canton de Bonne fut créé mais dès 1815 la Savoie recouvra son indépendance et il fallut attendre 1860 pour que la région alpine revienne définitivement à la France. La cité savoyarde fut rattachée au canton d’Annemasse. A cette époque, la commune comptait moins d’un millier d’habitants, une démographie qui resta stable tout au long des XIXe et XXe siècles, puis connut un nouvel afflux de population suite au rattachement du village de Loëx en 1973 et après les années 1990.

 

Une situation géographique qui reste exceptionnelle.

Fiers de leur église Saint-Nicolas du XIIe siècle restaurée quatre cents ans plus tard, des vestiges du château médiéval mais aussi de la maison forte de Loëx, les Bonnois tirent profit de la proximité de grandes métropoles qui leur offrent d’innombrables activités sportives et culturelles mais bénéficient néanmoins d’écoles maternelle et élémentaire (collèges et lycée à moins de 5 km), d’une parfaite couverture internet au cœur d’une ville réputée pour sa vie paisible.

 

Un mode de vie prisé.

Traversée par la Ménoge, entre lacs et montagnes, à 15 km de Genève et de son aéroport, à quelques encablures d’Annemasse et de sa gare TGV, idéalement desservie par la route, Bonne devrait connaître dans les années à venir une véritable expansion grâce à son implantation proche de bassins d’emplois importants. Une petite commune où il fait bon vivre comme le démontre l'expansion de son parc immobilier, composé à 69% de maisons individuelles et à 6,6% de résidences secondaires, avec constructions récentes, fermes et chalets.

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