Balma
...bientôt suivis par les Romains avant de passer sous l’autorité royale de Clovis et surtout celle des prestigieux comtes de Toulouse, puis de connaître la déferlante cathare au début du deuxième millénaire. Au Moyen Age, Balma fut érigée en fief, possession de l’évêché de Toulouse, une baronnie ecclésiastique qui abritait un château, maison de plaisance des archevêques de Toulouse où mourut au XVIe siècle le cardinal de Gramont. Une position dominante qui apporta à cette région toulousaine, dès la Renaissance, richesses et développement.
Une ville résidentielle.
Balma demeura un domaine parsemé de quelques hameaux d’agriculteurs qui ne connut aucun événement notable jusqu’à la Révolution quand les biens de l’Eglise furent confisqués et vendus, permettant à quelques métayers de devenir propriétaires. Erigée en commune, absorbant au passage Saint-Martin, Balma se développa tout au long du XIXe siècle autour de son église Saint-Joseph du Rouquet. Mais il fallut attendre après-guerre pour que champs et prairies se lotissent pour faire place à une ville résidentielle et pavillonnaire.
Un grand plan d’aménagement.
Ayant tiré profit de l’industrie aéronautique dès l’entre-deux-guerres, abritant aujourd’hui le centre d’essais CEAT, Balma se réinvente avec l’aménagement d’une centaine d’hectares, à proximité de la rocade de Toulouse, à vocation d’habitat pour un tiers et d’activités économiques pour le reste. Où se côtoieront quatre secteurs à la vocation différente, l’écoquartier Vidailhan, le campus tertiaire de la Garrigue, la zone d’activités de Montredon-la-Tuilerie, et la colline de Thégra.
Un cadre de vie prisé
Desservie par le métro toulousain, à moins de vingt kilomètres de l’aéroport Toulouse-Blagnac, Balma se singularise par ses 15 km de pistes cyclables mais aussi ses 10 km de chemins piétonniers, fière de sa fabrique des arts du cirque à la Grainerie. Et offre aux Balmanais de nombreux équipements publics dont des établissements scolaires jusqu’au collège, des stades et gymnases, une piscine, mais aussi un centre culturel et une salle d’exposition.
Un immobilier attractif.
A quinze minutes du Capitole, membre de la communauté urbaine de Toulouse Métropole avec 35 autres communes, réputée pour ses espaces verts dont le parc de Lagarde ou le bois des Archevêques, mais aussi le lac Saint-Clair, limitrophe de la Ville Rose, Balma a réaménagé son cœur de ville depuis peu, abritant un parc immobilier composé à 66% de maisons individuelles dans un cadre de vie particulièrement tranquille que prisent les familles avec enfants.